La violence.... des.... silences

Citation :

il n’y a d’autre résistance à l’analyse que celle de l’analyste lui-même

C'est une jolie phrase. Je l'entends au sens que l'analysant ne peut pas aller plus loin que son analyste dans sa propre analyse ; qu'un analyste peut encourager ou entraver le travail de son analysant.

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Sinon Mathilde je viens de trouver un petit bouquin très chouette et accessible et pas cher qui parle de transfert, silence etc avec subitlité et qui pourrait te plaire : "L'entretien clinique" sous la direction de Colette Chiland au PUF.

Bises

Amitiés tout de même, bonne continuation si vous, ça vous fait du bien.
C'est vraiment compliqué tout ça, vous savez...Ou je ne suis pas douée, ou j'ai autre chose à comprendre de plus urgent. Peut-être le vieillissement?le passage de main aux jeunes? En tout cas de votre débat, je ne saisis pas grand chose, de manière logique, et je ne sens rien, de manière expérimentale et intuitive.
Outre que pour moi sous le nom d'amitié, je mets uniquement ce sentiment altruiste, l'amitié pour les autres, mais pas pour moi...cette dernière , elle est acquise depuis toujours avec même un peu trop d'indulgence, probablement, comme tout le monde j'imagine.En tout cas, elle ne pose aucun problème et c'est la seule qu'il me restera sur une île déserte.
Bises
Mathilde

Mais si, Mathilde, tu comprends bien plus que ce que tu crois.

Je n'ai pas le temps de développer ce matin, mais je reviens...

Amicalement,

Colibri

Colibri a écrit:

Je ne sais pas répondre, mais ta réflexion m'interpelle, Zoé.

Je me souviens d'une tentative de méditation silencieuse en groupe qui m'a fait émerger brusquement l'envie de danser la saint-gui et de chanter à tue-tête, alors que ce n'est pas du tout mon style ; je trouvais tout à coup le silence insupportable

Et le silence …

Ha oui chut silence (on tourne)
Le silence j’vais encore raconté une anecdote, qui s’adresse à vous tous cher (es) ami (es)
Si j’vous ennuis vous m’dite …

Le silence, oui je me souvient : la veille de cette journée ou il y avais le silence, j’avait une journée pas comme les autres, confrontée à des difficultés que heureusement ne doivent vivent …
Et ce lendemain, le jour du silence, je me suis retrouvée face à moi-même :
J’raconte :
Il était …vers 13h30 j’avais décidé de marché juste le long du Doubs pour une heure ou 2, donc des chaussures non adaptée pour la marche de plusieurs heures.
Je marche ,je marche sans savoir vraiment que je marché ,étant très habitée par ma pensée ,que tt à coup je vois une forêt ,et l’envie soudain d’y entré (foret de Valmy).m’avait-elle invitée ?,en tt cas j’en pris la permission,je marche 1h 2h 3h 4h ,et soudain toujours plongée dans mes pensées ,je fis une pause ,et j’avais levé la tête ,pour regarder les arbres qui surplombé ,ou je me sentie si petite que la foret pouvait être reine de la situation .
Et j’entendit tt les petits bruit de la vie de la forêt, jusqu’à ne plus entendre aucun bruit de part et d’autre, elle s’était tue, la foret, me laissant entendre le battement de mon cœur, ou là je commence à ressentir comme impression étrange qui vous envahit, et qui devient silence .ce silence n’avait plus de temps !je ne savait plus ou j’était, perdue dans cette immense foret seule face à moi-même …
Je ne pourrai jamais décrire avec les mots ce que ces instant qui n’avait pas de durée de temps m’on fait vivre comme ressenties c’était rien, c’était tout, c’était indéfinissable …

Quant enfin je devait réalisé que vite je souhaité revenir le temps et entendre les bruits de la vie.
Ne portant jamais de montre, ayant un sens inné de l’heure, je réalisa qu’il me fallais rentré, seulement j’avait tellement marché que je ne savait plus quel direction prendre.
Je n’avait rien à boire, ni chaussure adaptée, j’avait la bouche sèche, les pieds que je ne sentait plus, la direction que je ne savait se trouvant, alors je marche, et marche encore allant à droite puis à gauche, me sentant perdue, les couleurs me montée à la tête par les efforts fournie pour maîtrisé la situation, afin d’y faire face et de retrouvé le chemin qui me ramènerai à mon point de départ.(boussole intérieur)

Le silence devenait moins présent qu’en tout à coup au bouts de plusieurs heures j’entent les bruit de la vie courante qui arrivèrent tt doucement me fit reprendre un battement de cœur au rythme normal .et je vis un petite chaumière ,pour essayé de trouvé à boire ,j’était tellement rouge du visage que la personne ou j’avait frappé à la porte m’ouvris ,et fit un bon en arrière … bonjour -un verre d’eau je vous pris _ ,mais d’où venez-vous me dit-il , ;ho mon pauvre monsieur !!Au plus profond de mes entrailles …

Quand je suis rentrée il était 20heure.

Un silence inoubliable, et presque insupportable !
Amitié d’aventureuse d’un jour.

Un jour, si vous voulez j’vous raconterai la foret du jura sous l’épaisse neige, seule aussi…

Patience et longueur de temps, et devenue ma devise.

marileaine.

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Merci de partager ce moment fort avec nous, Marielaine