| La violence.... des.... silences | |
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Auteur | Message |
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Ingrid Invité
| Sujet: Re: La violence.... des.... silences Jeu 15 Déc - 16:46 | |
| Bonjour tout le monde Ok Zoé , désolée. Colibri, je comprends que le manque permet le désir, mais je ne comprends pas pour le vide. En fait, je me demande quelle est la différence entre le vide et le manque ? Bises Ingrid |
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Zoé
Nombre de messages : 320 Localisation : Brossard Québec Date d'inscription : 06/06/2005
| Sujet: Re: La violence.... des.... silences Jeu 15 Déc - 16:54 | |
| Le vide ne précède-t-il pas le manque ? N'est-il pas lié à la peur de ressentir ce manque ? ou ce désir ?
Bonne journée, Zoé | |
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Colibri
Nombre de messages : 243 Date d'inscription : 24/08/2005
| Sujet: Re: La violence.... des.... silences Jeu 15 Déc - 18:13 | |
| En fait, c'est quelque chose que je ressens confusément, je ne sais pas bien l'expliquer ni même si ça correspond à quelque chose théoriquement... oui, ça a peut-être à voir avec la peur, l'angoisse même par moments... D'abord on constate qu'il n'y a pas la relation sociale habituelle, puis on est confronté (je suis confrontée) au sentiment que ça provoque chez nous... bon je crois que c'est encore moins clair comme ça... Bises | |
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Soleille
Nombre de messages : 321 Date d'inscription : 03/07/2005
| Sujet: Re: La violence.... des.... silences Ven 16 Déc - 1:12 | |
| Bonsoir Colibri et tous (le M l'emportant sur le F) Peut-être que sur le divan,la quête,c'est le manque du vide qui "permet de sortir de la rumination";vide à prendre alors dans le sens de faire le vide. C'est à peu près ce que j'ai éprouvé dans l'après analyse.Je l'ai arrêtée brutalement cette analyse car à un moment donné,le risque était de se remplir à nouveau. En tous les cas,je fonctionne par synthèse désormais.Il y a bel et bien du vide,un vide aérien où ça respire. Amitiés | |
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Zoé
Nombre de messages : 320 Localisation : Brossard Québec Date d'inscription : 06/06/2005
| Sujet: Re: La violence.... des.... silences Sam 17 Déc - 1:14 | |
| Le risque...ou la chance... Le remplissage comme le vide peut être salutaire ou pas...sur le divan et un peu partout.... Les envolées aériennes peuvent être une escapade planifiée ou pas, dans un voyage tout à fait structuré ou pas, à notre insu ou pas, partiellement ou pas... Bien des chemins mènent à SOI ! La Parole comme le Silence ne se vivent pas QUE sur le divan et c'est là que tout prend un sens ou pas... À lire à l'endroit comme à l'envers, dans le dé-lire ou dans le délire ! Mais sans trop s'accrocher dans les fleurs du tapis...car finalement tout cela est poésie ! Gambadons en vol plané ! Amicalement, Zoé | |
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Colibri
Nombre de messages : 243 Date d'inscription : 24/08/2005
| Sujet: Re: La violence.... des.... silences Lun 19 Déc - 1:12 | |
| Je réfléchis à ton post, Soleille. Je n'ai pas terminé mon travail donc je ne peux pas comparer à ce que tu dis... Se pose alors la question de ce qu'on attend d'un tel travail. Je dirais pour ma part une unité retrouvée, mais en fait je ne sais pas trop... Celà tient peut-être plus de la re-mise au monde. Sans un peu de vide pas de désir, est-ce là ce que tu voulais dire ? Bises | |
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Soleille
Nombre de messages : 321 Date d'inscription : 03/07/2005
| Sujet: Re: La violence.... des.... silences Mar 20 Déc - 16:52 | |
| Bonjour Colibri, Ce n'est pas moi qui le dis,c'est toi et c'est exact. Il faut faire de la place au manque.Pour cela,il faut se vider de ce qui encombre. Amitiés, | |
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Claudia Invité
| Sujet: Re: La violence.... des.... silences Jeu 29 Déc - 11:07 | |
| Hello à toutes, Le silence de l'analyste c'est d'abord sa capacité à faire silence, c'est à dire à oublier son auguste personne pour prêter celle ci à l'analysant et représenter l'objet des manques de celui ci. Cette représentation pour qu'elle soit possible doit être libérée des contraintes projectionnelles de l'un pour permettre à l'autre de trouver représentation, présentation et expression. Un analyste fait silence de sa personne pour que l'autre trouve la place necessaire à cette expression sans les parasites liés une interaction qui serait de l'ordre des projections interminables dans les deux sens. L'analyste va donc gérer tout seul dans son coin ses propres projections (contre transfert) et s'il y parvient tout à fait c'est qu'il est compétent. En langage populaire on pourrait dire que pour pouvoir ouvrir ses écoutilles à ce que dit l'autre il faut commencer par se la fermer sauf que le bon entendeur sait bien qu'il faut ouvrir ses oreilles, ses sens, son savoir; fermer sa gueule et ouvrir son coeur c'est à dire être investi d'un amour universel qui fait que qui que soit la personne qui est présente, quoi qu'elle ait pu faire l'on considère qu'elle est avant tout un être humain et qu'elle a droit a minima à la dignité. (pas forcement dans cet ordre là) Ce silence là crée un vide qui est aussi une place et comme le vide n'existe pas en réalité il va se remplir comme une fosse d'aisance à l'analysant qui va investir cet espace du silence de l'analyste. Une fois que cet espace est investi, c'est à dire dès que l'analysant a posé là en vrac tout ce qu'il est, ce qui l'encombre (comme le dit très justement Soleille) et surtout ce qui ne l'encombre pas suffisamment (ses manques, ce qui lui manque) il va déchiffrer ce barda déposé avec l'aide de l'analyste qui lui, peut poser un déchiffrage dénué d'affects encombrants. Bien sûr tout cela se complique du fait que ce qui est posé là à vue prends forme d'un langage imagé et de résistances au déchiffrage (au mieux), de résistance à la dépose et ca dure longtemps en plus parce qu'on ne se décharge pas ainsi de son sac d'un bloc mais qu'on laisse couler le sable hors du sablier comme le temps c'est à dire petit à petit, une seconde après l'autre. Alors à un moment quand on a posé, déchiffré, quand tout cela a fait sens, est revu et integré par le conscient et qu'on a déterminé ce qu'on garde, ce qu'on jette aux orties, ce qu'on renvoie aux limbes inconscientes etc...(tout dépend de l'école de l'analyste hein!) c'est à dire quand on commence à ne plus être ou être dans son symptôme on peut dire qu'on commence à savoir ca qu'est qu'on est, ca qu'est ce qu'on veut, ca qu'est qu'où on va. Tout ca de facon simplifiée bien sûr. Je laisse de côté la notion de transfert, ce qui découle aussi des découvertes et de l'intégration des éléments inconscient au conscient en termes de comportement observables, la diversité des matériaux pour ces explorations etc...etc... Voilà, pour ce qui est de ce que je comprends de ce que j'ai vécu et appris. A vous les studios! A vous mon cher Sigmund, en direct depuis Trou de Bouc, Provence Alpes Côte d'Azur! (rassurez vous je ne suis pas en plein délire mais juste en blague avec Sigmund ) |
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Ingrid Invité
| Sujet: Re: La violence.... des.... silences Jeu 29 Déc - 15:00 | |
| Hello Claudia
Merci pour ton long développement que j’ai lu attentivement.
Une séance que j’ai eu hier soir avec ma psychanalyste m’a fait repenser à ce vide dont parlait Colibri. J’ai l’habitude de ressentir le manque et la frustration; ce que je trouve d’ailleurs positive, et je ne ressens pas particulièrement de malaise par rapport à ça. Mais hier soir il s’est passé que ma psychanalyste est restée dans son silence (elle l’est particulièrement en ce moment) et j’ai ressenti là comme un vide. J’avais une trouille de ce qu’elle pouvait penser, ressentir, peur de ses réactions. J'avais du coup du mal à dire, et je me suis trouvée presque aussi silencieuse qu'elle. Arrivée chez moi, je suis restée avec ce passage à vide et je me suis dite là que j’allais dire à ma prochaine séance à ma psychanalyste que malheureusement je n’y arrivais pas, que c’était trop difficile. Aujourd’hui, ça va un peu mieux, d’ailleurs j’en parle et ton message « silence et vide » me le permet, ce que je n’aurais pas pu dire hier soir où je préférais rester seule avec ce vide.
Il est vrai que le silence du/de la psychanalyste est important. Personnellement, je préfère un silence qui permet au /à la psychanalyste de prendre le recul nécessaire par rapport à ses projections, plutôt qu’un(e) psychanalyste qui parle autant que son analysant(e), ou qui passe son temps à intervenir, ou qui fait des interprétations précipitées, et qui finalement ne peut que finir par projeter sur son analysant(e) quelquechose qui risque de faire nœud.
Bien à toi
Ingrid |
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Sigmund Rang: Administrateur
Nombre de messages : 505 Age : 33 Localisation : Versailles Loisirs : littérature-psychologie Date d'inscription : 04/06/2005
| Sujet: reponse Jeu 29 Déc - 20:09 | |
| Chère Claôdia Merci pour ton cours magistral sur la technique des psychopathologies et autres psychothérapies d’inspiration psychanalytique. Permets moi cependant d’y apporter une touche personnelle, en effet, je m’étais accroché avec Freud (tu n’étais pas née !) au sujet du transfert positif ! La ou lui ne voyait rien, je pensais, à une forme de résistance quant on s’attache trop à son thérapeute ! (Mais ce Freud quel tête de cochon !) Tous les grands analystes ont ensuite abondé dans mon sens preuve s’il en fut de mon génie ! (D’ailleurs je le dis moi-même.) A ce propos voudrais tu me prendre en analyse, en me faisant un petit prix ? Et quand nous ne saurons plus qui analyse l’autre, on se séparera, et l’on ira manger une bonne choucroute ou ce que tu voudras ! : Je t’entretiendrai sur mes travaux et la soutenance de ma thèse « De la phagocytose, d’un vih par un macrophage dans une boule protoplasmique à couche corticale dans un espace isotrope et neguentropique (ça tu t’en doutais !) en logique fractale sous lumière bi chromatique » Rassure toi je ne suis pas psychorigide, j’adore la musique surtout classique j’ai adoré et écouté Wagner des myriades d’heures jusqu ‘au jour ou j’ai eu une brusque envie d’envahir la Pologne…. Je te laisse car je dois aller finir de trier mes lentilles. Je t’embrasse ainsi que Léa Sigmund PS : Avec le nom de bled que tu as il serait temps que tu déménages (enfin, moi ce que j’en dis !) | |
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Sigmund Rang: Administrateur
Nombre de messages : 505 Age : 33 Localisation : Versailles Loisirs : littérature-psychologie Date d'inscription : 04/06/2005
| Sujet: ho! Ven 30 Déc - 13:44 | |
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Soleille
Nombre de messages : 321 Date d'inscription : 03/07/2005
| Sujet: Re: La violence.... des.... silences Ven 30 Déc - 16:00 | |
| un quoi? un poil d'humour? | |
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Sigmund Rang: Administrateur
Nombre de messages : 505 Age : 33 Localisation : Versailles Loisirs : littérature-psychologie Date d'inscription : 04/06/2005
| Sujet: a poil! Ven 30 Déc - 20:04 | |
| Bonsoir Soleille Mais non notre Claudia n’est pas de mauvais poil, mais à un poil près elle me tombait sur le poil Et quant elle a quelqu’un sur le poil elle ne le caresse pas dans le sens du poil. Toujours prête à chercher du poil sur un œuf, et l’on ne sait même pas si elle a un poil sur le caillou. Bon elle n’est pas de bon poil, mais elle va reprendre du poil de la bête, et terminer l’année « au poil » Et cela ne va pas nous empêcher de commencer 2006 pile poil… Bon réveillon à tous Sigmund | |
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Soleille
Nombre de messages : 321 Date d'inscription : 03/07/2005
| Sujet: Re: La violence.... des.... silences Ven 30 Déc - 20:16 | |
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Claudia Invité
| Sujet: Re: La violence.... des.... silences Ven 30 Déc - 20:49 | |
| Vous savez, c'est très vil ce que vous venez de faire là. C'est de la moquerie bête et crasse. Et en plus c'est d'une grande hypocrisie puisqu'en discussion privée la chanson n'a pas le même air d'humour. Visiblement le poil se défrise, il se raidit et ca pique, je ne m'étais pas trompée, il y en a bien un ----> juste ici et là aussi on dirait ---> L'avantage c'est que ca révèle les caractères. Aucune surprise et le contraire m'eut étonnée. Enfin bon Sig? tu n'a donc pas fait le ménage sur le forum? Les poils qui trainent ca fait pas prop! |
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Soleille
Nombre de messages : 321 Date d'inscription : 03/07/2005
| Sujet: Re: La violence.... des.... silences Ven 30 Déc - 21:23 | |
| Oh ben Claudia,tu es bien susceptible!Je ne lis pas d'hypocrisie! En ce qui me concerne,je soulignais l'envolée lyrique de Sigmund sur jeux de mots sans y lire quelque vile intention! Et puis,c'est toi qui as commencé avec ton poil et ça a dérivé en amusements!Rien de bête et crasse là-dedans! On aurait attendu une chute humouristique de ta part! Mais si tu penses que tu as raison,ce n'est pas moi qui chercherais à te contrarier . A quoi bon,d'ailleurs:tes certitudes t'appartiennent. Bonnes festivités, | |
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Claudia Invité
| Sujet: Re: La violence.... des.... silences Ven 30 Déc - 23:00 | |
| Tu as raison Soleille! D'autre part le texte de Sigmund est poilant en effet C'est juste la verve encombrée...ché pas..un poil qui cache la forêt sans doute? |
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Soleille
Nombre de messages : 321 Date d'inscription : 03/07/2005
| Sujet: Re: La violence.... des.... silences Sam 31 Déc - 0:29 | |
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Colibri
Nombre de messages : 243 Date d'inscription : 24/08/2005
| Sujet: Re: La violence.... des.... silences Mar 3 Jan - 11:15 | |
| Ingrid, ça semble plutôt positif ce que tu racontes ; un nouveau départ dans ta thérapie peut-être ? Bises | |
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Zoé
Nombre de messages : 320 Localisation : Brossard Québec Date d'inscription : 06/06/2005
| Sujet: Re: La violence.... des.... silences Mar 3 Jan - 14:19 | |
| En tout cas le silence permet tout au moins le dialogue avec soi, ce qui est déjà bien....dans l'humour comme dans la détresse...
Parfois il nous conduit à la rencontre réelle avec l'autre, moment magique à recevoir comme un cadeau de la Vie !
Personnellement, je le vis comme un espace rempli plutôt que vide où ce qui est dit se limite à l'essentiel.
Je pense à l'instant au film La belle verte...magnifique finale sur le Silence..
Amicalement, Zoé | |
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carole
Nombre de messages : 55 Localisation : je viens du sud et part tout les chemins... Loisirs : théatre Date d'inscription : 30/06/2005
| Sujet: Re: La violence.... des.... silences Mer 4 Jan - 2:04 | |
| Oula...
Bon j'ai trouvé votre débat fort intéressant... je ne suis ps une fana de la psychanalyse... a cause de son silence notamment. Le silence se veut là pour permettre a la parole d'emerger... Pour ne pas influencer la personne, pour laisser la personne elle même diriger son discour...
Un anti psychanalyse a emit une autre hyppothése notamment a propos de cette pseudo non influence.
En effet entre une thérapie ou le psy "parle" ou du moins est moins dans ce silence et un psychanalyste lachant ses paroles au goutte a goutte avec un silence sciamment frustrant, on peu penser que la parole est libre car pas de directivité, pas d'infleuence. ...
La théorie (que je partage) de ce bonhomme est que bien au contraire il y a une enorme influence, la liberté est trés restreinte. Le non-dit... n'est ce pas souvent la cause de frustration de nevrose qui amenent les gens sur le divan?
Là le psychanalyste ne dit rien... je parle... avec le transfert qui s'exerce, avec ce que j'imagine qu'il veut entndre, avec inconsciamment ce désire de "lui plaire". Et là soudain... le psy dit quelque chose!!! Psychanalyste je ne suis pas digne de te recevoir mais dit seulemen une parole et je serais guéri. Je m'accroche au mot, a la phrase et je construis ma pensée sur THE phrase THE interprétation dite. L'influence est alors trés importante car un biais une vie est donnée, et de part la frustration du silence scrée, une parole, une pensée va être saisi, exploitée a fond.
Donc pour ce théoricien la liberté n'est que factice. | |
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Colibri
Nombre de messages : 243 Date d'inscription : 24/08/2005
| Sujet: Re: La violence.... des.... silences Mer 4 Jan - 11:32 | |
| Si j'ai bien compris, selon certains, toute psychothérapie comporte une forme de manipulation, puisqu'il s'agit d'aider le patient à modifier son discours intérieur ou du moins à en prendre conscience, malgré les sentiments ambivalents du patient par rapport à sa guérison... Ce qui est rigolo en psychanalyse, je trouve, Carole, c'est tout ce qu'on met dans le silence de l'analyste ; il y a quelques mois encore j'en ai eu un exemple flagrant et assez drôle finalement. Je m'étais persuadée que mon psy vivait quelque chose dans sa vie, ce qui me faisait agir d'une certaine façon, jusqu'à ce qu'un jour je me mette en colère et que je lui en parle, et qu'elle s'exclame alors "mais enfin, ça c'est du transfert !". | |
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Zoé
Nombre de messages : 320 Localisation : Brossard Québec Date d'inscription : 06/06/2005
| Sujet: Re: La violence.... des.... silences Mer 4 Jan - 13:58 | |
| Bonjour Carole,
Je t'ai bien lu et je ne peux que dire que tout ce que tu écris est à l'opposé de ce que je vis en analyse. Bien sur chaque analyse est unique.
Les concepts ne fixent que des cadres rigides alors que l'analyse est une porte ouverte dont les seules limites sont celles que l'on s'impose.
Amitiés, Zoé | |
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Colibri
Nombre de messages : 243 Date d'inscription : 24/08/2005
| Sujet: Re: La violence.... des.... silences Lun 9 Jan - 19:34 | |
| Hem... quel silence assourdissant par ici ! | |
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Sigmund Rang: Administrateur
Nombre de messages : 505 Age : 33 Localisation : Versailles Loisirs : littérature-psychologie Date d'inscription : 04/06/2005
| Sujet: eh oui Lun 9 Jan - 20:42 | |
| Et oui l'oiseau! S'il y en a qui sont chaleureux ,il y en a d'autres qui "refroidissent".. Mais les chacals aboient et la caravane passe! Amities Sigmund | |
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| Sujet: Re: La violence.... des.... silences | |
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| La violence.... des.... silences | |
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