La violence n'a pas de sexe....

Voici un texte que m'a fait parvenir un homme québécois de 35 ans.

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Tu veux savoir qq chose d'incroyable mais vraiment vrai?

J'ai été agréssé 4 fois par 3 filles et un gars(verbalement: menace de mort) en 13 ans de taxi:

1) Jeune femme: autour de 1993...j'avais 23 ans... la fille était une danseuse(je crois) et tres belle... rendu a destination elle ne voulait pas payer... et elle me dit: "tu veux coucher avec moi pour payer la run?" Je lui reponds: "Euh... j'ai une blonde que j'aime et... (je n'ai pas eu le temps de finir ma phrase qu'elle me sacre un ostie de coup de poing !!!!) J'ai vu des étoiles... et elle est parti en courant dans un un bloc appartement... J'ai appelé la police pour attaque et vol... et tous les policiers (4) ont ri de moi... j'avais beau leur dire que cela faisait mal... et qu'en plus elle m'avait volé... ils s'en foutaient ben raide...

2) Pendant le referendum de 1995... j'embarque une femme d'environ 75-80 ans...elle va a l'hopital et on discute des péquistes... elle me dit:"Les Péquistes sont inhumains de fermer des lites...et blablabla..." Je lui réponds: " Madame je ne suis pas péquiste, mais en Saskatchewan... le parti NPD a fermé la moité des hopitaux la-bas... je ne crois pas que la crise qui affecte le système de santé soit exclusif au Qc"... Elle ne me laisse pas finir et PIFFFFF je reçois une osti de claque !

J'en revenais juste pas.... je n'ai pas appelé la police... elle etait folle et hystérique...

3) une fille qui ne voulait pas payer... et surtout sortir de mon taxi... elle etait agressif et disait vouloir me "busher dessus"... et elle m'enguelait comme du poisson pourri.... J'ai decidé de sortir de mon taxi et de monter sur le hood... et sauter comme un fou.... ;-)))) LOL... ca marche elle est parti... Inutile de te dire que je n'ai pas appelé la police...

4) Autour de 1996;
Un homme et une femme... genre Harley Davidson montrent dans mon taxi...
C'est pendant le festival de Jazz... les routes au centre-ville sont barrées...
Je prends un raccourci et la fille commence a dire que je prends des détours... mais je te jure que je faisais cela pour eviter une ostie de grand detour... j'ai meme pris une rue dans le sens contaire... le dame dit ensuite: " on va s'allumer un joint... et blablabla"... je dis:" Si tu fais cela je vais m'endormir... car je ne peux pas supporter la boucane du pot... est-ce que cela vous derange d'attrendre rendu chez vous pour fumer..." le mec me repond: "tu parles encore comme cela a ma blonde je te tranche la gorge (il dit cela sur un ton tres calme et il chuchotait!) J'ai eu la chienne... j'ai attendu d'etre sur un boulevard (Rene-Levesque) je me suis "parké" perpendiculairement au au traffic... j'ai pas dit un mot... j'ai place le char sur park... j'ai sorti de la voiture et j'ai dit: " Mes ostis de bs de pseudos Hell's Angels sortez de mon taxi!!! Ils capotaient et ne savaient plus quoi dire... et a chaque fois qu'ils parlaient je disais des trucs genre: "vous etes des cons-finis, vous etes laids... retouner dans votre cartier de bs et fumé autant de pot que vous voulez... faite autant de menace que vous voulez... mais que je vous revois pas dans mon taxi toi et ta guenon mal leché...et blablabla..." Je n'arretais pas... plus ils me disaient de me clamer... plus je leur donnait de la merde...

Inutile de te dire que je n'ai pas appele la police !

"Les femmes" sont des victimes des hommes ? Bull-fuckin-shit...
Les femmes incitent a la violence... provoquent...vols... manipulent... elles sont aussi violentes que les hommes mais d'une facon un peu differente (c'est evident car elles sont moins fortes...) Mais elles savent que le système leur permet de dire et faire n'importe quoi... Il faut etre une femme honnete et integre pour ne pas ecraser les hommes qui les entourent...
Je n'en veux pas "aux femmes"... mais je deteste autant les hommes mechants que les femmes mechantes... ils sont aussi nombreux les uns que les autres...

En 13 ans de taxi a Montreal je peux te dire avec certitude que les femmes ici sont PLUS VIOLENTES QUE LES HOMMES... j'entends toutes les conversations... et c'est incroyable la violence des filles... les gars sont rendus des vrais moumounes... ET AVEC RAISON ILS SAVENT QUE S'ILS FONT QUOI SE SOIT... ILS VONT ETRE ARRETÉS... on a crée un systéme anti-homme... et les policiers continuent de se faire brainwasher sur "la violence faite aux femme"....

MERDE LA VIOLENCE N'A PAS DE SEXE... meme si la violence feminine ne laisse pas toujours de trace... c'est aussi frappant !!!!

Je me dis toujours en blague dans mon taxi: " ah un fille avec un penis... ou un gars avec des tetons".... c'est vraiment "frappant"
On donne "un permis de tout faire" aux femmes et on dit aux mecs: "si vous ripostez vous ne passez pas go et allez en prison"
Nous sommes en train de creer une generation de monstres feminins...
Les jeunes filles dans les ecoles sont les pires (demande a n'importe quel papa ou mouman honnete...)
Demande a un prof honnete...

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J'ai ete harcelé sexuellement UNE FOIS QUAND JETAIS jeune... PAR UNE FEMME... une gardienne de la garderie de l'ecole... j'avais 9 ans... et ma mere etait la directrice de cette meme ecole... j'ai tout dit a ma mere...

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Mon pere n'a jamais ete violent avec moi.... mais ma mere m'a deja fait lever de terre et tiré par le cheveux lorsque javais 15 ans... laisse-moi te dire que ce fut la derniere fois.... jetais 2 fois plus gros qu'elle... je n'ai pas frappé ma mere... mais je lui ai fait comprendre de ne plus recommencer... precision: ma mere n'etait pas ma mere biologique...

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Quand j'avais 5ans... notre ecole est allé au centre-ville pour une visite.,.. j'etais un enfant hyper-actif(une chance que le Ritlain n'existait pas) et je criais comme un fou... LOLLLL et une soeur (une des profs qui nous accompagnait) m'a pris par les cheveux et m'a levé de terre... j'ai vu des etoiles... LOL

Je n'ai pas dit ca a personne....

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Mon ex: elle m'a harcele pendant des années... et plus je la repoussais... plus elle revenait... j'ai meme change 5 fois de numero de telephone en 5 ans !
Je me cachait litterallement d'elle... j'etais trop con pour appele la police... et un jour arriva ce qui devait arriver: un bébé !
Le reste c'est la meme chose que tous les papas faussement accusés... de la merde et encore de la merde... et pas l'ombre du debut d'une justice !
JE VEUX LE DETECTEUR DE MENSONGE ! CLISSE LA COUR SUPREME L'A REFUSE IL Y A 15 ANS... ON SAIT POURQUOI... LES FAUSSES ACCUSATIONS CEST LE PAIN ET LE BUERRE DES AVOCATS, PSYS, JUGES, POLICIERS, ETC...

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Tu vois moi aussi j'ai des raisons d'hair... mais j'ai pardonné à toutes ces personnes... et je sais que la grande majorité des femmes ne sont pas comme ça...
Mais elles sont deja trop nombreuses... ET PERSONNE NE FAIT RIEN POUR LES ARRETER D'ABUSER DE LEUR ENTOURAGE !!!!!!!!!!!
Un homme mechant ou violent sera arrete sur une simple denonciation !
Nous vivons dans un monde hyper sexiste et injuste envers les hommes
Je vais combattre ce système jusqu'a ma mort... dans la paix et la joie ;-)))))))))))))))

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J'ai toutes les raisons du monde d'etre amer envers les femmes... mais je ne veux pas,,, mais je ne veux plus de blonde... c'est trop risqué... et trop de trouble

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Voici un article sur ce meme sujet:


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Ryan Cormier
The Edmonton Journal

Tuesday, December 06, 2005

http://media.canada.com/idl/edjn/20051206/208902-72221.jpg?size=l
CREDIT: Greg Southam, The Journal
Ken Charbonneau claims his ex-girlfriend is harassing him. When he filed complaints with police, some of the officers were "verbally abusive," he says.

EDMONTON - Ken Charbonneau feels he's been victimized twice -- once by the woman sending him threatening letters and flammable packages, and again by the police officers who came to investigate.

Charbonneau broke up with his girlfriend and moved out after she began hitting him. She didn't take it well. She began harassing him, he says, once even smashing a molotov cocktail against his door. Charbonneau got fed up. He called police.

Then, he says, he had to face a new problem.

Some of the officers didn't believe the six-foot, 245-pound Charbonneau could be a victim. Regardless of his size, he said some of the officers had a hard time with the idea that a man could be pushed around.

"They didn't believe a woman would do this," he says. "They asked why I couldn't take care of myself, why I didn't just move. I just wish the Edmonton police would take better care of male victims."

Charbonneau, 45, estimates the police have been to his house to investigate incidents 14 times.

Some of the officers were decent and respectful of him, he says. Some of the officers took the complaint seriously enough that they set up a surveillance camera outside his home. Others were amused or skeptical of his reports.

"They were cold, standoffish and verbally abusive," he says. "Every time I went to police, I felt like I was banging my head against the wall."

Charbonneau says officers never offered to set him up with a victims services group. Instead, he has attended therapy sessions for abused men. "It's not being weak," he says. He feels betrayed by the police after following the proper procedures and reporting the crimes against him instead of doing something on his own. "I wanted to do it properly. I went to the law and the law didn't help me."

He filed a complaint with the internal affairs unit and spoke with the Edmonton Police Commission. His complaint is still being investigated.

Police spokesman Dean Parthenis said Charbonneau's complaints have been thoroughly investigated over the months they have gone on. Investigators are awaiting the results of forensic tests. However, a city lawyer says that Charbonneau is not alone. Grant Brown has studied abusive relationships between men and women, and he isn't surprised by Charbonneau's story.

"I get clients all the time who say that police laugh when they say their wife hits them. If a big, six-foot-something, 200-pound guy says his wife is hitting him, they chuckle and say, 'You can handle it, can't you?' "

"It's devastating," Brown says. "They come in here and they're completely beaten down."

Brown says many of his clients are caught in a catch-22.

If they go to the police, they face ridicule. If they fight back in their relationship, they can have the police called on them.

Brown researched Crown prosecution files in 2001 and found "quite stark differences in treatment between men and women who are accused. Men are treated more harshly every step of the way."

Brown has found that just as many men are abused by their partners as women. According to a Statistics Canada survey released in July, an estimated seven per cent of women and six per cent of men suffered spousal violence from 2000 to 2004.

The study also found that women are more than twice as likely to be injured during such abuse. The problem is compounded because male abuse gets little attention and never becomes a political issue, Brown says. Also, a lot of men don't report the abuses they suffer.

Men don't report it out of shame or because they don't see it as a crime, says Don Dutton, a professor of psychology at the University of British Columbia. Dutton has done many studies on gender and violence and teaches police services about spousal abuse intervention.

"The notion is always that the male is the bad guy," Dutton says. "The old argument that men are bigger, therefore they're not at risk, is simple-minded. It assumes a male will use that size. It assumes a female won't use a weapon. It assumes a whole lot of things that aren't true."

Dutton believes that when gender violence became an issue in society, men were designated as abusers and women as victims. When Dutton tells police officers that some studies show that men are as likely to be abused as women, they are shocked.

"They were stunned," Dutton says. "They heard 95 per cent of victims were female, but they couldn't say where they learned that from.

"There's a societal thing that a man's pain isn't taken seriously."

The harassment of Charbonneau started slowly. The woman would give him the middle finger when they saw each other, or dragged her hand threateningly across her throat.

Then she smashed a lawn ornament through his screen door. She left threats on his answering machine and a box of dead fish on his front step. A Molotov cocktail was smashed against his door and his welcome mat was burned. A red X was spray-painted on his bedroom window. Letters were left in his vehicle, even when it wasn't parked at home.

Charbonneau, who plays Santa Claus for kids every Christmas, became scared. He slept on his couch with a baseball bat next to the door. He lined soup cans along his windowsills. He gets edgy if he hears someone walking outside.

"What happens if someone brings a gun? What if one of those Molotov cocktails works when I'm asleep and I wake up and this place is ablaze?"

On Oct. 7, Charbonneau awoke to a surprise on his front step, a gift bag containing the bizarre combination of a bottle of gasoline, matches, candles, newspapers and Brillo pads.

The bomb squad has been to his house three times.

He has a binder containing 14 police reports and character-reference letters he's collected from friends and family, including his ex-wife.

During his ordeal, Charbonneau got a neck tattoo of a Cantonese symbol that means "inner strength."

Charbonneau has picketed in front of police headquarters, carrying a sign that reads, "EPS takes no care of male victims."

He knows he might be setting himself up for ridicule and he's ready for it.

"I'm going to be laughed at, but my shoulders are broad enough to take it. At the end of the day, I can say I didn't get angry and I didn't react."

rcormier@thejournal.canwest.com

© The Edmonton Journal 2005




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Hello Zoe

Merci
Je pense en effet que toute violence est à prendre en compte.

Amitiés
Ingrid

La violence n'a pas de sexe, certes.

Cependant des femmes meurent chaque semaine de violences infligées par des hommes, le contraire n'est pas vrai je pense....

Mais peut-être que si le cabbie arrêtait d'insulter ses clients, il aurait moins de problèmes.

À première vue, je dirais que la souffrance ne se mesure pas, qu'il n'est pas utile de la mettre en statistique et qu'il existe des morts vivants, des pères exclus de leur famille par le discours verbal ou non verbal de la mère, que cela entraîne parfois la violence des hommes...en tout cas certainement la souffrance de TOUS sans exception, même celle des femmes...(et évidemment celle des enfants)

Elles se passent entre les acteurs de la scène et il est rare qu'elle soit unilatérale...

Concernant cette violence sur le plan socio-politique, il serait peut-être temps que nous regardions autrement le rôle, l'importance du "travail maternel" auprès des BÉBÉS et des jeunes enfants et que nous cessions de penser qu'un médecin a plus de valeur qu'une maman en train d'éduquer ses bambins qui seront des médecins, ouvriers, président, maman....et qui participeront à ce pour quoi nous sommes tous sur la terre : apprendre à aimer et à être aimé...N'est-ce pas là un TRAVAIL de première ligne, digne d'être reconnu dans toute son importance ?

À suivre....Zoé

Je ne peux pas vraiment souscrire à ce point de vue.

Si théoriquement on ne peut que soutenir l'idée que la souffrance est inquantifiable et non hiérarchisable, on ne peut pas non plus faire totalement l'impasse sur un certain principe de réalité. Il y a des degrés dans la violence. Il y a des personnalités perverses.

Je me méfie de ces mouvements d'hommes, notamment au Québec, qui sentent bon la misogynie, et de ce courant de pensée qui tend à dénier la réalité des crimes commis, pour se pencher sur la souffrance du bourreau, ou promouvoir l'idée que la victime et le bourreau se mélangent dans une sorte de co-responsabilité de l'acte violent.

Habituellement là où il y a de la violence, il y a aussi des dynamiques bien précises qui se jouent entre les acteurs. C'est trop facile de tout mettre la responsabilité sur celui ( ou celle) qui pose le geste violent.

Il existe aussi une violence insidueuse parfois qui elle, n'est jamais mis à jour...Il n'y a pas un méchant d'un côté et la bonne personne de l'autre. Il y a une relation malade, à mon avis.

Il ne s'agit pas de justifier, d'excuser...pas du tout...mais de voir autrement qu'en terme de victime et de bourreau...

Certes, il y a des "pervers" , des psychopathes, mais ça ne courre pas les rues...

Par exemple, je peux souffrir du silence de l'autre et voir ce silence comme une violence psychologique. Mais je peux aussi voir ce silence comme une inacapacité à se dire, à se rendre vulnérable, à s'engager, à entendre, etc....et respecter ce silence...et me centrer sur la réponse à mes besoins en dehors de ce silence que je n'apprécie pas...

Les gestes violents posés ont parfois une longue préparation de tout un dialogue verbal et non-verbal violent ou chacun a participé, consciemment ou pas à l'escalade...

Et puis les gestes physiques violents ne sont pas que l'affaire des hommes...

Amitiés, Zoé

Hello Colibri


Ce qui peut faire violence chez moi ne fera pas forcément violence chez toi, et vice versa.

Personnellement, je trouve que la société, la justice met aussi en avant ce qu’elle veut bien nous montrer.
Mais que penser, que dire, des violences qui ne sont pas étaler en public (si je peux dire ainsi) et pourtant qui existent tout autant ?


Amitiés
Ingrid

Enfin, je tiens à vous faire remarquer tout de même que c'est ce type de réactions qui protège les pervers. Les pervers cherchent à anéantir l'autre, quel que soit leur sexe, par des paroles ou des actes. On en trouve en couple, dans les entreprises etc, ils sont responsables de violences et harcèlements. Les victimes de pervers n'ont aucun profil psychologique particulier. Cf Hirigoyen, Hurni et Stoll etc.

De même comment une victime est-elle censée se reconstruire si elle doit d'emblée pardonner à l'agresseur et envisager qu'elle est co-responsable de l'acte de l'agresseur ? Il y a là une fusion pathologique. Cf Alice Miller. Et pourquoi donc faire porter toute la responsabilité sur le couple agresseur-agressé sans avoir recours aux statistiques et autres données socio-culturelles ? Les êtres humains sont-ils déconnectés de la société dans laquelle ils vivent ? Et lorsqu'une personne sous l'emprise de l'alcool ou d'un stupéfiant frappe une autre personne, où est la responsabilité de la victime ?

Et Ingrid, à te suivre, on se demande pourquoi alors on s'émeut devant les génocides et la torture si tout est subjectif ?

Amicalement

Un lien pour mettre à mal les idées reçues et l'ignorance :

http://www.sosfemmes.com/points_de_vue/sujets/02_hommes_battus.htm

Bonjour Colibri


Je ne vois pas dans nos messages où nous protégeons les pervers?

Je pense qu’il ya différentes formes de violence.
Je pense que n’est pas parce que chez toi ça fait violence que ça fait violence chez moi ou de la même manière chez moi.
Ca n’est pas parce que ça fait violence chez moi que ça fait violence chez toi ou de la même manière chez toi.
Je ne vis pas la même chose que toi Colibri. Toi et moi sommes différentes. Je n’ai pas la même histoire que toi…
Voilà ce que j’essaye de dire. Je n’ai pas dit ce que tu crois.

Amitiés
Ingrid

Bonjour Pothieu

Je vais aller voir ton lien

Amitiés
Ingrid

C'est parce que, Ingrid, un glissement fréquent est d'en arriver à nier l'acte à force de subtilités. Si bien que personne ne peut soigner victime et bourreau, être psy, sociologue et juge.

C'est certain que la subjectivité joue ; parce exemple je trouve Pothieu très violente voire odieuse depuis quelques temps, c'est un sentiment qui m'appartient.

Bises

Je comprends ça !

Bonjour Colibri,

À mon avis, il ne s'agit pas de nier quoique ce soit mais de voir et de comprendre la responsabilité de chacun plutôt que la culpabilité de chacun dans le processus de la violence.

Je suis d'accord avec le fait qu'une agression physique ne permet pas le retrait, la fuite alors qu'une agression psychologique peut toujours être contrer quand on en prend conscience.

Néanmoins, l'emprise psychologique peut avoir le même impact, sinon davantage qu'une agression physique. De grandes violences sont vécues dans la plus grande "douceur" parfois.

Prends bien soin de toi, Zoé

bonsoir,

j'ai été voir sur le lien poth...

ben ça craint quand meme !

l'article dans lequel une femme témoigne de sa violence contre son mari... là j'hallucine !

franchement qu'y avait-il à gagner en restant avec une femme pareille ???

autant vivre sa vie tout seul... d'autant que sexuellement c'était tout aussi pauvre...

non franchement y a de droles de gens tout de meme !



ps : le pauvre, en plus il a plutot intéret à se tenir à carreau lolll sinon il y a droit !

Tu souhaites en parler, Pothieu ?

*

A tous ; même si mes psys aiment parfois associer le mot violence à mes émotions , j'ai connu et la violence verbo-émotionnelle, par agression, abandon, témoignage de la souffrance de l'autre et tutti quanti, et la violence physique visible, et la violence sexuelle et la violence en entreprise. J'ai cru au moins à deux moments de ma vie que j'allais y passer à cause d'un(e) autre. Ca ne veut pas dire que je pense que les gens violents sont des bêtes sont cervelles, au contraire je suis plutôt bien équipée pour comprendre ce qu'il y a dans leur caboche....

A quoi ça rime de vous raconter ça ? Ben, ça va mieux en le disant, et en polus j'ai envie de rigoler ce soir