Drole de monde suite...

Une histoire vraie de ma jeunesse … coup de cœur.
+ (description d’aujourd’hui, coup de gueule)

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Je commence par le coup de gueule horrifiée, quant j’ai vue un reportage sur les ‘’’ abattoirs’’’ et l’avant…
Horrifiée de la manière d’on on traitent les animaux, et dire que ce sont des êtres humains qui commettes ces horreurs, comment peut-on laissée faire de tels absurdité inqualifiable…quant je vois ces pauvres vaches …

Pardon pour l’enchaînement, mais ce sont les réalités qu’on ne peut occulté …

C’était dans les années cinquante, vers la fin, j’avais 4/5 ans, puisque par rapport à la hauteur de la tête de notre cheval de trait, qui s’appeler pompon !

On dit que les animaux son bêtes, bête soie même que de le pensé, ben non alors ; qui à dit « « ils ne leur manque que la parole ?
C’est le souvenir qui m’a le plus marquer de tout ceux que j’ai vécue avec notre cheval, et sa mort…
Pour ceux qui ne le savent pas, je suis née à la campagne, très retirée, et nous vivions sur une ferme, ou mes parents étaient cultivateurs, agriculteur .et les travaux de la fermes nécessités un cheval de trais, pour faire tous ce labeur, de la ferme.
Les voisins proche, plus jeunes eux, avais un tracteur, et on s’entre- aidé quant il y avait les ‘’foins’’ (pour ceux qui ne savent pas (les foins) c’herbe que l’on coupe, que l’on laisse séché, et que l’on mettaient en bottes _ma mère qui le faisais _ pour ensuite le ramassé pour donné à manger l’hivers aux animaux) je passe des détails.
Et un jour le tracteur ne pouvait plus monté la pente … (en panne)
Chez nous en Normandie(avant) c’était très vallonné ,alors mon père est allé cherché pompon ,pour non seulement tiré la charrette de foins ,mais aussi le tracteur ,,et c’est là,ce souvenir d’enfance ne ma jamais quitté de la peine que j’ai eue :
Il tirais(pompon) à eue, et à dia pour pouvoir sortir ce tracteur enlisé ,et mon pompon qui avec tout le courage ,sur ses pieds (mon père ne voulais pas que l’on dise patte),de toute ses forces peiné sur le commandement …,(de sortir ce tracteur)ayant réussis au bout d’un temps beaucoup trop long ,pour q’en fin sur la surface plate se reposé…,(pompon)et là moi toute petiote ,j’avait assisté à cette dureté des travaux de la ferme ,je suis allée vers mon pompon qui avaient les flans qui battait à 100 haleur (comme on dit là—bas )son souffle ,cœur,qui halé si fort,sa robe noir qui transpiré ,et son regard qui rejoignis le miens …(pardon pour les larmes ),mais jamais je n’oublierai ses yeux ,ou je sentais qu’il me supplier …je le caressais ,lui disais ,mon pompon chéri tu vas allé faire dodo ,je vais dire à papa …

Jamais je n’ai pue oublié cette histoire vécue, ses yeux (à pompon) m’avait pénétrer, ressentant sa souffrance …

Il est mort j’avait 17 ans, dans la souffrance de rhumatisme, mais là je ne pourrais pas raconté !
Pour mon pompon...

P s : (Je m’excuse pour avoir dit papa… !!)

Amitiés de pomponette d’un jour …bises...

Marielaine.

Bonjour Marielaine

Merci de nous avoir fait partager ces moments d'enfance, d'une époque révolue..
Mais en ce temps ou la vie était difficile on respectait les valeurs..
J'aime aussi beaucoup les chevaux,de la ferme de mon enfance et tous les animaux.
Ben oui on ne voit bien qu'avec le coeur....

Amitiés

Sigmund

Ton pompom a du être le plus heureux des animaux d'avoir une maitresse comme toi (non le second plus heureux des animaux... le premier c'est le mien d'avoir une maitresse comme moi )

Pourquoi tu t'excuse d'avoir dis papa?

Le 21 février 2006

Coucou Carole

Merci d’avoir prêtais attention à mon histoire !

Ce n’étais pas moi sa maîtresse,(tu me taquine ) _trop petitesse ,j’étais _,,mais mon père bichonnais mon pompon,,en le brossant chaque matin ,et moi je passais sous son corps,(pour joué)ou ses pieds étais à ma hauteur !me souviens ,c’était sûrement le plus gentille des chevaux ,et le plus courageux…-na carole, tan pis … (sourire)
Et nous avions un chien, et lui étais à la chaîne … (longue, certes) mais quel paradoxe !normal, il y avais des poules, canards, dindon, oies, etc.…
Et des chats pour les souries (rire) et aujourd’hui, c’est moi qui me serre de la souri pour transmettre ce message (bizarrerie de la vie … !riri.re

<<non le second plus heureux des animaux, >>dis-tu ? Alors cela me ferrais plaisir que tu nous raconte ton histoire à toi chère carole !c’étais qui ?le premier ?

_c’était un petit cheval blanc, tous derrière, et tous derièrrrrrrrrrrreee… c’étais un…………

<<pourquoi tu t’excuses d’avoir dis papa >>dis-tu ?

Réponse :
Pour ceux qui n’en ont pas eu, de papa … ( ) !

Amitié Carole

Marielaine

Bonjour Carole

Ben oui, chacun voie midi à sa porte, comme on dit !

Tu sais Carole heureusement que nous n’avons pas la même conception de voir les choses.
Il y à plusieurs étapes : 1ere =celle de lire un message ,2eme=de le comprendre et3eme=de l’intepréter !
C’est toutes nos différences qui font la différence, et l’échange des différences fait la richesse de l’humanité !
Mais tu sais Carole, j’essaie aussi de mettre dans la mesure du possible, un peu d’humour pour apporter une lueur ?ou plus, selon le contexte, ou pas, quand c’est une situation qui si prête, dans mon expression pour dire les choses …

A bientôt
Marielaine